Le cinéma est de retour à SHA
Semaine du 15 au 21 novembre 2017
Vendredi 17 - 18h VOST
Dimanche 19 - 20h45 VOST
Lundi 20 - 20h45 VOST
Réalisateur : Rodrigo Sorogoyen
Avec : Antonio de la Torre, Roberto Álamo, Javier Pereira, …
Film : Espagnol
Genre : policier, thriller
Titre original : Que Dios nos perdone
Distribution : Le Pacte
Durée : 2 h 06 minutes
Année de production : 2016
Date de sortie en France : 9 août 2017
Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement
Récompenses
-* 2017 - Goya du meilleur acteur :Roberto Álamo
- 2016 - Festival de San Sebastian - édition n°64 Prix du Jury du meilleur scénario : Isabel Peña
Synopsis
Madrid, été 2011. La ville, plongée en pleine crise économique, est confrontée à l’émergence du mouvement des « indignés » et à la visite imminente du Pape Benoît XVI.
C’est dans ce contexte hyper-tendu que l’improbable binôme que forment Alfaro et Velarde se retrouve en charge de l’enquête sur un serial-killer d’un genre bien particulier. Les deux inspecteurs, sous pression, sont de surcroît contraints d’agir dans la plus grande discrétion…
Une course contre la montre s’engage alors, qui progressivement les révèle à eux-mêmes ; sont-ils si différents du criminel qu’ils poursuivent ?
Critiques Presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec "Que Dios nos perdone", l’Espagnol Rodrigo Sorogoyen dresse le portrait d’une société en crise. Et confirme que le 7e art ibérique est en pleine forme.
Le Nouvel Observateur
par Xavier Leherpeur
Après "la Isla minima" d’Alberto Rodríguez et "la Colère d’un homme patient" de Raúl Arévalo, voici un nouveau polar ibérique d’exception.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très sombre, ce polar tient aussi en haleine avec une investigation en forme de course contre la montre et des scènes spectaculaires. Une infernale poursuite à pied dans Madrid va rester dans les annales.
L’Express
par Christophe Carrière
Sur une trame balisée, l’auteur-réalisateur espagnol surprend en dressant un portrait en creux de deux handicapés des relations humaines. Ajoutons quelques moments de bravoure de mise en scène, comme ce plan-séquence inattendu, quand l’assassin... A vous de voir ! Ça vaut le coup.
Source : www.allocine.fr